Les Armes du Général Patton.

De tous les célèbres généraux américains de la seconde guerre mondiale, George S. Patton est certainement les plus aisément reconnaissable grâce aux revolvers qu’il avait l’habitude de porter à la ceinture

Le plus fameux de ses revolvers est sans aucun doute son COLT Single Action Army (dit « Peacemaker« ) à la crosse en ivoire gravé de ses initiales.

Il était déjà armé de ce revolver alors qu’il n’était que lieutenant sous les ordres du général Pershing et c’est avec lui qu’il participa en 1914 à la traque du célèbre Pancho Villa , et abattit son commandant en second , le capitaine Julio Cardenes.

A l’issu de ce combat, Patton garda en souvenir les étriers de Cardenes et grava une encoche sur la crosse de son colt.

Ayant été obligé de recharger son arme plus de 3 fois durant cet échange de tir à courte distance avec les hommes de Villa, Patton fut convaincu de la nécessité de porter un second revolver en « backup » .

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Patton a également porté en certaines occasions d’autres armes de poing : Colt Pocket Model hammerless, Colt Detective Special .38 ou Remington Model 51 en calibre .380 mais très rarement le pistolet semi-automatique modèle 1911 , arme réglementaire à cette époque.

Vous l’aurez compris, ses préférences allaient largement aux revolvers qu’il personnalisait autant que possible avec une crosse en ivoire.

Merci Cobra pour ce sujet fort intéressant.

Mais je me demande quel avantage y a t-il pour choisir un revolver plutôt qu'un pistolet type colt 45 ?

Il me semble qu'au combat un pistolet est plus agréable qu un revolver en sachant bien que le Général Georges Patton n'était amené à combattre dans des situations délicate.

Le Général Patton avait une arme pour chaque occasion, mais ce sont les deux « six coups » à crosse en ivoire qu’il arborait à la ceinture qui ont fait de lui un des héros les plus reconnaissable de la deuxième guerre mondiale.

C'est sur qu'un bon vieux Colt 1911 pour le combat, et pour le fun, avec crosse en ivoire, et ciselée, aurai été du plus bel effet.

Mais notre Général, préferai les roulettes.

Pour les amoureux du Général, une très belle réplique est en vente.





Et en plus, à prix réduit.

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Mais ce n'est pas une PN (dommage).

stef39 a écrit:

Merci Cobra pour ce sujet fort intéressant.

Mais je me demande quel avantage y a t-il pour choisir un revolver plutôt qu'un pistolet type colt 45 ?

Il me semble qu'au combat un pistolet est plus agréable qu un revolver en sachant bien que le Général Georges Patton n'était amené à combattre dans des situations délicate.

Faut pas oublier que Patton était une tête de lard et un original. Si le revolver avait été réglementaire, sûr qu'il aurait porté un PA!

Et il n'aimait pas les armes de maquereau de Louisiane.

Lorenzo a écrit:

Et il n'aimait pas les armes de maquereau de Louisiane.

Ce 1911 est magnifique, et je ne suis pas un mac.

Cobra a écrit:

Ce 1911 est magnifique, et je ne suis pas un mac.

Dans une vie antérieure, peut-être ?

Lorenzo a écrit:

Cobra a écrit:

Ce 1911 est magnifique, et je ne suis pas un mac.

Dans une vie antérieure, peut-être ?

Comme c'est l'anniversaire de Walter Block aujourd'hui, je te conseille la lecture de son excellent "Défendre les indéfendables", dans lequel il fait, en particulier, l'apologie des souteneurs ^^

A ta santé Lorenzo

Lorenzo a écrit:

Cobra a écrit:

Ce 1911 est magnifique, et je ne suis pas un mac.

Dans une vie antérieure, peut-être ?

Et dans ses rêves les plus fous!

jonas_357 a écrit:

Lorenzo a écrit:

Cobra a écrit:

Ce 1911 est magnifique, et je ne suis pas un mac.

Dans une vie antérieure, peut-être ?

Et dans ses rêves les plus fous!

Tu caches bien ton jeu.

J'avais lu un article sur patton dans un de mes magazines il y a longtemps.

Il parait qu'autant il adorait l'ivoire autant il détestait le nacre.

Il disait que c'était bon pour les pédés.

Un soldat ayant entendu dire qu'il aimait les plaquettes claires en a fait les frais d'ailleurs, il machait pas ses mots le Patton.

J'aime bien ses citations d'ailleurs:

-L'objet de la guerre n'est pas de mourir pour son pays, mais de faire en sorte que le salaud d'en face meure pour le sien.

-Quand on fait quelque chose, on provoque des critiques chez trois catégories de personnes :
1) celles qui font la même chose ;
2) celles qui font le contraire ;
3) et surtout celles qui ne font rien.

-Une pinte de sueur économise un gallon de sang

-Il y a des moments où il est bon d'écouter sa peur et d'autres où il est plus sage de faire comme si elle n'existait pas.

jonas_357 a écrit:

stef39 a écrit:

Merci Cobra pour ce sujet fort intéressant.

Mais je me demande quel avantage y a t-il pour choisir un revolver plutôt qu'un pistolet type colt 45 ?

Il me semble qu'au combat un pistolet est plus agréable qu un revolver en sachant bien que le Général Georges Patton n'était amené à combattre dans des situations délicate.

Faut pas oublier que Patton était une tête de lard et un original. Si le revolver avait été réglementaire, sûr qu'il aurait porté un PA!

C'est vrai qu'il pensait être la réincarnation de Hannibal ?

(Mais un revolver, c'est quand même plus classe !)





On lui prête beaucoup de citation, va savoir si elles sont toutes vraies !

" As I walk through the valley of the shadow of death, I have no fear because I am the meanest motherfucker in the whole valley. "

Heylighen a écrit:

" As I walk through the valley of the shadow of death, I have no fear because I am the meanest motherfucker in the whole valley. "

Le Psaume 23 revisité.

... Tu es un homme de goût Heylighen

...tu mériterais plutôt le surnom de HEILIGEN

meteora a écrit:

Heylighen a écrit:

" As I walk through the valley of the shadow of death, I have no fear because I am the meanest motherfucker in the whole valley. "

Le Psaume 23 revisité.

... Tu es un homme de goût Heylighen

...tu mériterais plutôt le surnom de HEILIGEN

Mon nom n'a pas "évolué" contrairement a l'orthographe, ça signifie bien "les saints"

À propos de Patton, une lettre qu'il a écrit à son fils vers le D-Day :

Citation :

On June 6, 1944, General George S. Patton wrote this letter to his twenty-year-old son, George Jr., who was enrolled at West Point. Patton Sr. was in England training the Third Army in preparation for the battles that would follow the invasion at Normandy.

Note: The letter’s grammar and spelling have been slightly edited for clarity.

APO 403, N.Y.

“D-Day”

Dear George:

At 0700 this morning the BBC announced that the German Radio had just come out with an announcement of the landing of Allied Paratroops and of large numbers of assault craft near shore. So that is it.

This group of unconquerable heroes whom I command are not in yet but we will be soon—I wish I was there now as it is a lovely sunny day for a battle and I am fed up with just sitting.

I have no immediate idea of being killed but one can never tell and none of us can live forever, so if I should go don’t worry but set yourself to do better than I have.

All men are timid on entering any fight; whether it is the first fight or the last fight all of us are timid. Cowards are those who let their timidity get the better of their manhood. You will never do that because of your blood lines on both sides. I think I have told you the story of Marshall Touraine who fought under Louis XIV. On the morning of one of his last battles—he had been fighting for forty years—he was mounting his horse when a young ADC [aide-de-camp] who had just come from the court and had never missed a meal or heard a hostile shot said: “M. de Touraine it amazes me that a man of your supposed courage should permit his knees to tremble as he walks out to mount.” Touraine replied “My lord duke I admit that my knees do tremble but should they know where I shall this day take them they would shake even more.” That is it. Your knees may shake but they will always take you towards the enemy. Well so much for that.

There are apparently two types of successful soldiers. Those who get on by being unobtrusive and those who get on by being obtrusive. I am of the latter type and seem to be rare and unpopular: but it is my method. One has to choose a system and stick to it; people who are not themselves are nobody.

To be a successful soldier you must know history. Read it objectively–dates and even the minute details of tactics are useless. What you must know is how man reacts. Weapons change but man who uses them changes not at all. To win battles you do not beat weapons–you beat the soul of man of the enemy man. To do that you have to destroy his weapons, but that is only incidental. You must read biography and especially autobiography. If you will do it you will find that war is simple. Decide what will hurt the enemy most within the limits of your capabilities to harm him and then do it. TAKE CALCULATED RISKS. That is quite different from being rash. My personal belief is that if you have a 50% chance take it because the superior fighting qualities of American soldiers lead by me will surely give you the extra 1% necessary.

In Sicily I decided as a result of my information, observations and a sixth sense that I have that the enemy did not have another large scale attack in his system. I bet my shirt on that and I was right. You cannot make war safely but no dead general has ever been criticised so you have that way out always.

I am sure that if every leader who goes into battle will promise himself that he will come out either a conqueror or a corpse he is sure to win. There is no doubt of that. Defeat is not due to losses but to the destruction of the soul of the leaders. The “Live to fight another day” doctrine.

The most vital quality a soldier can possess is SELF CONFIDENCE–utter, complete and bumptious. You can have doubts about your good looks, about your intelligence, about your self control but to win in war you must have NO doubts about your ability as a soldier.

What success I have had results from the fact that I have always been certain that my military reactions were correct. Many people do not agree with me; they are wrong. The unerring jury of history written long after both of us are dead will prove me correct.

Note that I speak of “Military reactions”–no one is borne with them any more than anyone is borne with muscles. You can be born with the soul capable of correct military reactions or the body capable of having big muscles, but both qualities must be developed by hard work.

The intensity of your desire to acquire any special ability depends on character, on ambition. I think that your decision to study this summer instead of enjoying yourself shows that you have character and ambition—they are wonderful possessions.

Soldiers, all men in fact, are natural hero worshipers. Officers with a flare for command realise this and emphasize in their conduct, dress and deportment the qualities they seek to produce in their men. When I was a second lieutenant I had a captain who was very sloppy and usually late yet he got after the men for just those faults; he was a failure.

The troops I have commanded have always been well dressed, been smart saluters, been prompt and bold in action because I have personally set the example in these qualities. The influence one man can have on thousands is a never-ending source of wonder to me. You are always on parade. Officers who through laziness or a foolish desire to be popular fail to enforce discipline and the proper wearing of uniforms and equipment not in the presence of the enemy will also fail in battle, and if they fail in battle they are potential murderers. There is no such thing as: “A good field soldier:” you are either a good soldier or a bad soldier.

Well this has been quite a sermon but don’t get the idea that it is my swan song because it is not–I have not finished my job yet.

Your affectionate father.

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Citation :

J'avais lu un article sur patton dans un de mes magazines il y a longtemps.

Il parait qu'autant il adorait l'ivoire autant il détestait le nacre.

Il disait que c'était bon pour les pédés.

Un soldat ayant entendu dire qu'il aimait les plaquettes claires en a fait les frais d'ailleurs, il machait pas ses mots le Patton.

Non, il est censé avoir répondu à un journaliste qui l'avait interrogé à propos des plaquettes en nacre de son revolver :

" They're ivory. Only a pimp from a cheap New Orleans whorehouse would carry a pearl-handled pistol. "

J'ai quoté le film, j'adore cette image.