cotes mini et maxi de la douille du 223

ou puis je trouver une table ou sont marqués les cotes ninimum et maximun admissibles sur les douilles 223 ?

La longueur max de la douille est de 44, 70 mm . Recoupe a 44 ,50 mm .

christophedu67 a écrit:

La longueur max de la douille est de 44, 70 mm . Recoupe a 44 ,50 mm .

on peux pas decendre plus bas ?

Voilà les cotes du .223R ; désolé, je n'ai pas trouvé de plan coté avec tolérances.

merci nikel

sinon on peux decendre a 4.45 au recoupage j'ai eté un peu fort sur le trimmer ? je sais pas quelle est la tolerance en minimum j'ai jamais trouvé de doc la dessus.

Tu peux descendre plus bas, mais celà n'apporte aucun avantage, plutôt même l'inconvénient d'une moins bonne tenue de la balle (collet plus court). Aucun risque au niveau pression.

ok

Projektyle a écrit:

Tu peux descendre plus bas, mais celà n'apporte aucun avantage, plutôt même l'inconvénient d'une moins bonne tenue de la balle (collet plus court). Aucun risque au niveau pression.

tu serti ou pas ? il y a 2 ecoles les pour et les contre .

popaiye a écrit:

tu serti ou pas ? il y a 2 ecoles les pour et les contre .

Vu que c'est pour un semi-automatique (Vector LM6) et que la culasse qui pousse la cartouche le fait avec une "rudesse certaine" je préfère sertir légèrement. J'emploi le Lee Factory Crimp, avec un sertissage d'un demi-tour supplémentaire après contact avec le shell holder. Le sertissage est à peine visible et ne déforme pas la balle (ou de façon imperceptible).

Ne pas sertir pour une arme d'épaule, ça peut être possible.

Pour une arme à verrou dont on ne garnit pas le magasin (qu'on utilise comme une monocoup), le sertissage ne sert à rien. Pour la même arme à verrou, si on ne sertit pas et qu'on garnit quand même le magasin, je suggère qu'on s'équipe d'un bon pied à coulisse et qu'on mesure la dernière cartouche. On va rire. Surtout en tirant des chargements relativement costauds. Pour une arme à magasin tubulaire, ce sera encore pire. Et pour une arme semi-auto, où le trajet chargeur - chambre est plutôt violent pour la cartouche, encore mieux.

Donc pour du magasin tubulaire, du verrou à magasin garni et du semi-auto: sertissage obligatoire. Pour t'en convaincre, fais une cartouche témoin sans poudre ni amorce, siège une balle à la LHT habituelle, ne sertis pas. Mets ta cartouche dans le chargeur. Dirige ton arme vers un endroit sans danger, insère ton chargeur et charge sans accompagner le retour de la culasse mobile (lors du rechargement semi-auto, personne ne la raccompagne, n'est-ce pas?). Ejecte ta cartouche témoin et mesure-la avec un bon pied à coulisse.

NB: la tenue de la balle dépendra de la tension du collet, qui peut varier d'un étui à l'autre au fil des rechargements...

Sertis.

je pense que c'est preferable meme si on perd un peu en precision il parait mais bon a voir .

popaiye a écrit:

je pense que c'est preferable meme si on perd un peu en precision il parait mais bon a voir .

La perte de précision, on doit pouvoir la quantifier dans une arme monocoup ou à répétition manuelle, style Thompson Center Contender, Savage 12 ou Remington 700. Dans ces armes là, effectivement on a des résultats meilleurs avec des balles qui sont tenues par la seule force de rétention du collet ou avec un chargement qui colle la balle au cône de forcement (technique de Bench rest, les tireurs US disent de ce type de chargement "Jammed into the lands" = balle plantée dans la naissance des rayures).
Dans un fusil semi-automatique comme une Saïga, un AR-15 ou un SIG, je demande à voir un carton où les résultats seraient meilleurs avec des cartouches non serties qu'avec des cartouches serties...

Aquila a écrit:

Ne pas sertir pour une arme d'épaule, ça peut être possible.

Pour une arme à verrou dont on ne garnit pas le magasin (qu'on utilise comme une monocoup), le sertissage ne sert à rien. Pour la même arme à verrou, si on ne sertit pas et qu'on garnit quand même le magasin, je suggère qu'on s'équipe d'un bon pied à coulisse et qu'on mesure la dernière cartouche. On va rire. Surtout en tirant des chargements relativement costauds. Pour une arme à magasin tubulaire, ce sera encore pire. Et pour une arme semi-auto, où le trajet chargeur - chambre est plutôt violent pour la cartouche, encore mieux.

Donc pour du magasin tubulaire, du verrou à magasin garni et du semi-auto: sertissage obligatoire. Pour t'en convaincre, fais une cartouche témoin sans poudre ni amorce, siège une balle à la LHT habituelle, ne sertis pas. Mets ta cartouche dans le chargeur. Dirige ton arme vers un endroit sans danger, insère ton chargeur et charge sans accompagner le retour de la culasse mobile (lors du rechargement semi-auto, personne ne la raccompagne, n'est-ce pas?). Ejecte ta cartouche témoin et mesure-la avec un bon pied à coulisse.

NB: la tenue de la balle dépendra de la tension du collet, qui peut varier d'un étui à l'autre au fil des rechargements...

Sertis.

Au lieu de sertir, j'emplois des bushings plus serrants.