Je pense débuter avec un Colt Python quant pensez vous

S'il y avait un souci avec le barillet, ça ferait la même chose avec la .357 qu'avec la .38, il me semble. Le problème doit plutôt venir des étuis. J'ai eu un problème similaire avec un Taurus 94… Oui, ok, c'est un .22LR! Les étuis de certaines marques posaient un réel problème… Surtout Remington…

jonas_357 a écrit:

S'il y avait un souci avec le barillet, ça ferait la même chose avec la .357 qu'avec la .38, il me semble.

J'ai souvenir, si je ne m'abuse, que Al 1954 a rencontré des soucis avec des .38 +P. Ce qui n'écarte pas ton hypothèse concernant les étuis.

Aquila a écrit:

jonas_357 a écrit:

S'il y avait un souci avec le barillet, ça ferait la même chose avec la .357 qu'avec la .38, il me semble.

J'ai souvenir, si je ne m'abuse, que Al 1954 a rencontré des soucis avec des .38 +P. Ce qui n'écarte pas ton hypothèse concernant les étuis.

oui tu a raison , les 38 sp rechargées ou les manufacturées passe sans problèmes , les 38 + et les 357 coinces , sur le moment je ne m etait pas rendu compte que les 357 avaient aussi ce problème , je ne connais pas la technique pour faire un moulage des chambre de plus il faudrait connaître les cote et la forme de intérieur du barillet ,s est une documentation que je ne possède pas . je pense que la seule solution s est continuer a tire de cartouches 38 sp qui elles sortent sans aucun problème , je n envisage pas de remplacer le barillet cella coûterai certainement plus cher que la valeur de l arme .
je n ai pas la sp3 les 357 je les achète d usine , mai j ai des balles de 125 gr et de la a1 ,avec 8.3- 8.6 gr de poudre monter sur des ancien etuis Norma et voir ce qui se passe , tu ne dit sertir costaud , mai plus je sertit plus je monte la pression dans le barillet , donc sa risque d agravé le problème ?

Un essai avec différentes munitions manufacturées semble une bonne idée, j'ai eu un problème similaire en utilisant des munitions pas chère en étuis alu.

Beaucoup de 357 étaient difficile a extraire. Plus de problème avec les étuis conventionnels sauf quelques rares fois avec de grosses charges en 158 grain.

Les étuis fatiguent quand on recharge aussi, d'où les essai avec des amos manufacturées.

al 1954 a écrit:

mai plus je sertit plus je monte la pression dans le barillet , donc sa risque d agravé le problème ?

D'où l'idée de recharger en escalier pour rester dans des valeurs raisonnables et tester progressivement étuis et barillet. Je te parlais de sertissage pour la SP3. C'est comme ça qu'il faut sertir une .357 avec cette poudre lente: fort. Je ne connais pas la A1, je ne me permettrais pas de donner le moindre conseil à son propos.

moi j ai rencontré se problème avec des Fiocchi qui ne sont en général pas de mauvaises munitions . le problème les armuriers de ma région n ont plus que cella en stock , le reste est sur commande et la les pris grimpe

il serrai peut être intéressant d acheté un bidon de SP3 , cette poudre est plus appropriée au rechargement du 357 . cella me permettrais de faire des essais
grand merci a tous pour vos conseil

al 1954 a écrit:

j ai quelques soucis avec mon S&W mod 28 , quand je tire du 38 sp pas de problèmes , mai quand j emploie du 357 fiocchi les étuis serrent dans mon barillet .

C'est Fiocchi (étuis trop minces ?) Epicétou. Sinon, impossible d'abîmer un 28 ou de gonfler ses chambres, sauf à tirer des double charges évidemment.

Je confirme évidemment tout ce qui a été dit sur la mésentente du Python avec les pleines charges de .357 magnum et le risque pris en les tirant, du simple fait du côté collection de cette fort belle arme (car si je n'en ai pas et si je ne la tire pas aujourd'hui, je la trouve néanmoins très belle ; la pente de sa crosse ne me convient pas, c'est tout).

Comme pour une carcasse K chez S&W, je te déconseille le tir de .357 mag en autre chose que du 158 gr en poids de balle. La cutting flame (effet chalumeau) existe aussi chez le Python et les hautes pressions et températures développées pour des munitions à balle légère ont un effet très déplaisant à terme

Quant à son éventuelle imprécision en .38 spl normal, elle ne peut être due qu'au calibre des balles des cartouches manufacturées. Il n'aime pas vraiment autre chose que le .355. Quant à tirer des millions de .38 spl wc, c'est un peu excessif, et surtout pas sans maintenance en tout cas, mais j'en ai parlé ailleurs. On ne joue pas avec les ajustements d'un Python

Le Colt Python pour débuter ? Pourquoi pas.

J'ai utilisé celui du club pendant 6 mois sans aucun problème. Quelques remarques cependant :
- mécaniquement, rien à redire. Cà fonctionne très bien.
- c'est bien précis, stable, etc. Celui du club bouffe des boites et des boites de .38Sp WC toutes les semaines, mais aussi des FMJ pour le concours mensuel de Tir Loisir (quilles, gongs, cibles IPSC, etc.) sans aucun problème.
- mais il n'est plus fabriqué. Donc s'il y a besoin de pièces détaches, il faudra compter sur les stocks des armuriers. Mais, bon c'est costaud.
- çà se trouve facilement, pour pas trop cher. Mais dans des états variables.
- c'est quand même lourd, surtout en six pouces.
- détail : le barillet tourne dans le sens inverse de celui des S&W. Il faut juste le savoir lorsque tu ne dois pas chambrer plus de cinq cartouches.
- détail qui fâche (au moins sur celui du club) : la DA est très dure ! C'est peut-être spécifique à celui que j'utilisais. Mais c'est à vérifier sur celui que tu vas acheter.

Bref, il faut qu'il soit en (très) bon état, que sa prise en main te soit agréable, qu'il ne te paraisse pas trop lourd, que les organes de visée te conviennent, que son prix prenne en compte (en comparaison avec les S&W) le fait qu'il n'est plus fabriqué, mais surtout qu'il te plaise.

Par contre, depuis que j'ai mes autorisations (16 juin ! ) j'ai pris possession d'une superbe roulette (photos trouvées sur le web) : un S&W 327 Performance Center Jerry Miculek :


Canon de 5 pouces (je pense que c'est un très bon compromis), tout en titane et alliage au scandium (822 grammes, c'est moins lourd pour passer l'après-midi face à la cible), carcasse N (qui ne devrait pas trop souffrir avec les .38 ... bon c'est vrai, il y aura aussi quelques .357), barillet 8 coups compatible moonclip, etc.
Je l'ai acheté neuf (quasi introuvable) et j'ai équipé avec une poignée Nill (ma main glissait avec la poignée JM).
J'ai tiré avec hier pour la première fois. Précis, léger, confortable, recul comparable au modèles en acier (ou à peine plus marqué). Bref, que du bonheur !!!!

Flying Cluster a écrit:

- détail qui fâche (au moins sur celui du club) : la DA est très dure ! C'est peut-être spécifique à celui que j'utilisais. Mais c'est à vérifier sur celui que tu vas acheter.

Ce n'est pas le cas sur le mien. Donc, c'est en effet à vérifier lors de l'achat.

Flying Cluster a écrit:

- détail : le barillet tourne dans le sens inverse de celui des S&W. Il faut juste le savoir lorsque tu ne dois pas chambrer plus de cinq cartouches.

Dans le cas des S&W 6 coups où on en chambre 5, il faut mettre la chambre vide en face du canon à la fermeture du barillet. Par contre pour les Colt 6 coups où on en chambre 5, il est préférable de... mettre la chambre vide en face du canon à la fermeture du barillet.

Aquila a écrit:

Flying Cluster a écrit:

- détail : le barillet tourne dans le sens inverse de celui des S&W. Il faut juste le savoir lorsque tu ne dois pas chambrer plus de cinq cartouches.

Dans le cas des S&W 6 coups où on en chambre 5, il faut mettre la chambre vide en face du canon à la fermeture du barillet. Par contre pour les Colt 6 coups où on en chambre 5, il est préférable de... mettre la chambre vide en face du canon à la fermeture du barillet.

, ce n'est pas faux ... Désolé, j'avais mon 327 en tête lorsque j'écrivais.
On va dire "Il faut juste le savoir lorsque tu ne dois pas chambrer plus moins de cinq cartouches".
Merci Aquila.